Camélia du Japon, mutant, à Tokyo
(suite de l'accident nucléaire de Fukushima)
La mise à nue d’un agent d’influence et de la police politique en France des services spéciaux américain et de l’entité sioniste, Ornella Guyet, alias Marie-Anne Boutoleau, et de son réseau (Indymedia, Rebellyon, Article11, Acrimed, Le Monde Diplomatique …), par le parti Union Populaire Républicaine.
Par Michel Dakar, chercheur en politique dans le domaine du droit fondamental, et de son application à l’individu, ex-militant indépendant de terrain dans le milieu parisien pro palestinien non crypto sioniste. Paris, le 18 juillet 2011.
Le parti « Union Populaire Républicaine », mené par son président François Asselineau, a commis un acte de pure hygiène sociale dont on ne peut que lui être reconnaissant, en publiant une recherche effectuée sur une pseudo journaliste indépendante pseudo militante libertaire, exerçant dans les milieux d’extrême gauche, de gauche et anarchiste, qui se répandait en calomnies, injures et appels à la violence envers le parti UPR, Silvia Cattori qui milite pour la cause palestinienne, et des sites internet échappant à l’appareil de propagande du régime, tels legrandsoir.info, mondialisation.ca, dazibaoueb.fr, InfoWars, voltairenet.org/fr, et le site de Michel Collon.
Ornella Guyet traitait systématiquement de fascistes, d’antisémites et de négationnistes, tous ceux qui ne coopèrent pas avec l’appareil de propagande du régime.
Ornella Guyet collabore avec Le Monde Diplomatique (l’un des organes majeurs de propagande et désinformation du régime appartenant au groupe atlantiste Le Monde), Acrimed (simulacre de critique des médias), CQFD, Le Plan B, entre autres.
Une plainte a été déposée pour injures et diffamations, par François Asselineau, à l’encontre d’Ornella Guyet, et des sites paris.indymedia.org et rebellyon.info.
Pour la première fois en France, donc, seront cités à comparaître devant la justice, et devant un public qu’on espère nombreux, attentif et … photographe, ce qu’on peut considérer comme une employée des services spéciaux, un agent de la basse police, autrement nommée police politique, et ses deux principaux comparses, les dirigeants du site internet parisien
http://paris.indymedia.org/, et du site internet lyonnais
http://rebellyon.info/.
La ligne directrice de ces agents est d’interdire toute manifestation d’autonomie en France par rapport aux deux puissances qui l’ont vassalisées, les USA et l’entité sioniste.
Ceux qui n’acceptent pas cette domination sont diabolisés comme nazis (antisémites, négationnistes, fascistes et autres), et des appels à la violence, à l’agression physique, sinon au meurtre, sont lancés contre eux, par des agents comme Ornella Guyet, et relayés par des sites comme ceux des Indymedia, Rebellyon, Article11, RefleXes (
http://reflexes.samizdat.net/), et autres.
Il s’agit pour les services spéciaux américain et ceux de l’entité sioniste, de maintenir l’Europe et
la France comme colonie ou province de l’empire à deux têtes qui domine l’Occident.
Il faut avoir à la conscience, que dans la présente guerre mondiale qui est devenue ouverte avec les attentats prétextes fabriqués par les services spéciaux américain et sioniste du 11 septembre 2001 aux USA, guerre visant à rendre pérenne l’hégémonie USA – entité sioniste sur toute la planète en se rendant maître des régions riches en pétrole, minerais et autre éléments géostratégiques, que l’Europe et donc
la France, seront sacrifiées lorsque ces ressources se rapprocheront de leur épuisement, deviendront rares et de plus en plus coûteuses, ce qui en ce qui concerne la ressource la plus vitale, le pétrole, est l’affaire d’une toute petite dizaine d’années.
Il s’agit donc d’interdire en Europe et en France, l’éveil d’un mouvement politique affirmant la réappropriation de la direction de la vie politique européenne dans le sens des intérêts européens et français, par la création d’un réel pouvoir politique centralisé et authentiquement européen en Europe, d’un appareil européen financier, bancaire efficace, soit d’une vraie banque centrale européenne, d’une structure européenne qui solidarise réellement tous les états de l’Union du type fédération, par l’édiction d’un code social unique et inspiré de ceux des pays les plus socialement évolués, par le choix d’une langue de communication unique, et autre que l’anglais, qui devrait être l’esperanto (il existe déjà une langue universelle unique, qui est la langue des signes utilisée couramment par les sourd muets de toutes les cultures, et qui est infiniment plus efficace que toutes les autres langues parlées), par la promulgation d’une chartre de référence
des valeurs européennes, qui fondent l’appartenance culturelle à l’Europe, plaçant en exergue par exemple la contention stricte du fait religieux hors de l’espace public, à la sphère du privé, le développement de l’individualité, l’éducation à l’intérêt général et à la prise d’initiatives individuelles en politique, à l’autonomie, l’apprentissage au travail en groupe, à l’écoute et à la compréhension d’autres points de vue, et à l’organisation, la sensibilisation et la réactivité à toutes les formes d’abus de pouvoir, et par la création d’un force armée et de dissuasion nucléaire européenne, distincte de l’OTAN, capable de supplanter celle de la chimère à deux têtes USA-Entité sioniste, et celles des autres monstruosités totalitaro-mafieuses affirmées,
la Russie et de la,Chine.
Ornella Guyet et ses comparses sont donc en charge de préparer l’effondrement dans la misère de la population européenne, et la dislocation des sociétés européennes.
Il est illusoire de croire qu’en dernier ressort, ces sociétés soit-disant extra-territoriales que sont les multinationales, ne sont pas en réalité territoriales, et entièrement attachées, ancrées dans le sol d’une nation, d’un état. Les sociétés multinationales américaines sont dépendantes de l’armée américaine, de la politique étrangère américaine, du maintien d’un esprit national américain, du nationalisme, du communautarisme entretenus dans la société américaine.
Lorsque le partage des ressources énergétiques et minérales mondiales deviendra difficile entre les multinationales américaines et européennes, pour cause d’extinction de ces ressources, il ne fait aucun doute que les multinationales européennes seront interdites d’accès aux puits pétrolifères, et autres mines d’uranium. Alors, l’Europe disparaîtra économiquement.
La disparition économique de l’Europe est le plan sous-jacent à l’activité des Ornella Guyet et de ses collègues.
L’un des objets de ces policiers politiques comme l’est Ornella Guyet (Marie-Anne Boutoleau), et de ses relais (Indymedia, Rebellyon, Article11, Acrimed, Le Monde Diplomatique …), est de briser tout nationalisme et esprit communautaire au sein de la population française, alors que le nationalisme et l’esprit communautaire sont favorisés aux USA et même portés aux nues au sein de l’entité sioniste.
Ceux qui en France sont conscients de cette manœuvre de démoralisation visant à maintenir l’Europe dans l’impuissance et dans la sujétion aux intérêts américain et sioniste, sont qualifiés de nazis, et la chasse contre eux est grande ouverte.
Qualifiés de nazis (antisémites, négationniste, fascistes), implicitement, ils ne méritent pas qu’on respecte leurs droits, car ils sont déshumanisés, ce ne sont plus des citoyens. Pas une
des organisations de défense des droits de l’homme - qui sont toutes à la botte du régime - ne les défendra. Ils sont dépossédés de leurs droits fondamentaux.
La Constitution et la déclaration des droits de l’homme ne s’appliquent pas à leurs cas.
Ornella Guyet et ses comparses sont en charge de créer des non-citoyens, des parias, des sortes d’intouchables comme en Inde, des hors castes, des « goys », contre lesquels tout est permis, et aucun acte de violence physique ou verbal ne peut être poursuivi. Le comportement moral commun ne les concerne pas, ni les règles de base de la civilité.
C’est la raison pour laquelle aucun de ces sites diffamatoires n’a accepté de publier un droit de réponse face aux exactions écrites d’Ornella Guyet. Ils n’ont même pas jugé bon de répondre aux demandes. En effet, pourquoi répondre à ces sous-humains, ces animaux qui ne font que singer les êtres humains.
Il ne s’agit pas d’outrance de ma part. Je veux simplement faire sentir que derrière les comportements des Ornella Guyet et comparses, on a à faire à une espèces horribles de pures racistes extrémistes, camouflés en humanistes.
La population doit se dresser contre ces agents tels Ornella Guyet et les dénoncer. Il y va de sa survie morale et au-delà de sa survie physique.
Les résistants à ce qui est en réalité une occupation étrangère peuvent être injuriés, diffamés publiquement, et on peut lancer contre eux des appels à la violence, sinon au meurtre. Le passage à l’acte est légitimé. Ce n’est pas un crime ni un délit que de les agresser, ou de nuire à leur réputation. C’est à cela que servent les Ornella Guyet, les sites Indymedia, Rebellyon, Article11 et autre Acrimed.
Le procès qui vise Guyet et quelques-uns de ses collègues de la police politique du régime, sera révélateur de la manière dont le régime défendra ce qui en réalité est sa milice politique, l’équivalent des anciens gardes rouges chinois ou des gardiens de la révolution iraniens, ou des comités populaires du dictateur Kadhafi.
C’est un demi aveux que le titre de l’intervention de l’agent Guyet lors de ce colloque organisé par une instance de propagande états-unienne à Paris, et dont il est question dans les documents communiqués par l’UPR : « Les chiens de garde au-dessus des chiens de garde ».
Le milieu relais de ces agents de la police politique américano-sioniste, sont les milieux libertaires et d’extrême gauche, lesquels en France, sont entièrement noyautés et dirigés par les services spéciaux étatiques.
Les deux grands centres français de cet appareil de police politique sont Paris et Lyon, et il est intéressant que la plainte de l’UPR porte sur des sites qui sont consacrés à ces deux centres, comme il est intéressant que cette plainte permette de soulever la complicité entre cette agent policière et les milieux « immaculés », « irréprochables » tels ceux du Monde Diplomatique, d’Acrimed, de CQFD, du Plan B, et autres Article.11 (lequel sort une version papier de son site internet).
J’aimerais, si je puis me permettre, que les investigations, et les publications de ceux qui ont eu les moyens d’effectuer cette recherche sur Ornella Guyet, se portent aussi sur le haut lieu parisien de rencontre de cette mouvance policière, c'est-à-dire le CICP (Centre International de Culture Populaire), 21 ter rue Voltaire à Paris 11
ème,
http://cicp21ter.org/, et sur son mentor, Gustave Massiah, ainsi que de façon annexe, sur le CRID (Centre de Recherche d’Information pour le Développement), 14 Passage Dubail à Paris 10
ème,
http://crid.asso.fr/.
Il y a là un personnage central, Gustave Massiah, dans le quadrillage du milieu parisien et français progressiste au profit de l’axe américain et sioniste, et dans la réalisation d’une véritable toile d’araignée, dans laquelle viennent se faire prendre tous les idéalistes actifs en politique. Cette toile d’araignée s’étend non seulement sur toute
la France, mais sur une grand partie de l’Afrique francophone, et elle pénètre absolument tous les milieux, et à tous les niveaux.
Il est à noter que le CICP héberge des associations dominantes dans le domaine pro palestiniens, ces associations étant des faux nez des services du régime, des associations d’encadrements des populations d’origine arabo-musulmanes, du tiers-monde, et même de soutien aux indépendantistes corses.
Le CICP est régulièrement cité sur le site Indymédia Paris Île-de-France. C’est le principal lieu de rencontre de la mouvance Guyet à Paris.
Le second lieu parisien qui a été créé pour faire un simulacre de concurrence et de pluralité au CICP, et capter ceux qui échappent à la mouvance Guyet, est celui de
la CAPJO-Europalestine (site internet
http://europalestine.com/ ), villa Compoint à Paris 17
ème, dit « Librairie Résistance », mené par Olivia Zémor (obédience Lutte ouvrière).
J’ai tenté, avec mes seuls moyens, de mener des investigations sur Gustave Massiah, que de plus j’ai eu comme enseignant, et qui avait accepté d’être mon directeur de fin d’études (école d’architecture de Paris
La Villette). Je communique plus bas les liens permettant d’accéder aux dossiers que j’ai constitués, sur l’internet.
Avant de clore, il faut tout de même garder à l’esprit que les services spéciaux concurrents de ceux américano-sionistes (Russie, Chine et autres), ne peuvent qu’avoir intérêt à promouvoir des actions telle celle de l’UPR, et qu’il ne faut pas par rejet d’une monstruosité, en favoriser d’autres que rien ne distingue, dans la guerre des monstres où l’humanité engagée.
La position de l’UPR étant de préconiser la sortie de
la France de l’Europe, ce qui dans l’état actuel de partage du monde entre très grandes puissances (USA-Entité sioniste, Chine, Russie, Inde, Brésil) réduirait
la France à l’impuissance puis à la déchéance, il est clair que cette ligne directrice fait le jeux de ces puissances, sinon qu’elle est même suscitée par elles, qui n’oeuvrent à la dislocation de l’Europe, par tous les moyens, dont celui de son élargissement constant, de l’ouverture déniée de ses frontières à l’immigration, de l’acceptation en son sein de comportements socio-culturels archaïques, particulièrement dégradants pour la moitié de l’humanité, les femmes.
Il faut oser affirmer que nous sommes en Europe, hélas, au seul endroit dans le monde, qui porte dans une partie de sa culture les valeurs humanistes qui peuvent permettre la poursuite de l’aventure humaine, et dont le bref courant dit « libertaire » du 19ème siècle a été un aboutissement indépassé.
Si il y a une motivation qui doit suffire à décider d’entrer de plein pied dans la lutte actuelle entre les monstres géants, c’est que ces valeurs deviennent effectives au sein de l’humanité, et cela ne peut être sans s’en donner les moyens.
Le pire qui est en train de se passer en France et en Europe, est que par le fait de la constante propagande des organes américano-sionistes, sous couvert de tolérance, d’antiracisme et de « multiculturalité », la conviction apparaisse que ces valeurs après tout sont relatives, qu’elles ne sont pas intrinsèquement antagonistes de celles des civilisations archaïques, qui nient l’individu, instaurent toutes la déchéance féminine, regardent l’enfant comme une duplication des parents, prônent la dissolution de l’individualité dans le groupe, et la hiérarchie, l’existence du pouvoir, la soumission, la richesse et la pauvreté, comme des faits naturels.
Nous sommes en train de retourner, mentalement, 10 000 ans en arrière. Nous revenons dans des grottes, mais radioactives, chacun avec internet pour seul vis-à-vis.
En annexe :
L’affaire UPR, Sivia Cattori et Ornella Guyet, documents internet :
2 - Plainte du site de l’UPR
3 - Page « facebook » de l’UPR
4 - Article de Silvia Cattori.
Liens menant sur des dossiers que j’ai publié sur l’internet sur le CICP, Reflexes et autres de la même mouvance:
A ne pas manquer, deux curiosités :
Blogs relais du site aredam.net :
Annexe :
VIVAS CONTRE BOUTOLEAU
Par Bernard le jeudi, juin 23 2011, 19:01 -
Lien permanent Quand Le Grand Soir recevait le baiser de Judas (une histoire croustillante, incroyable mais vraie)
De quoi s’agit-il ci-dessous ?
D’une polémique entre des sites Internet concurrents ? De la queue de comète d’une querelle entre LGS et un site qui l’a agressé et diffamé ? D’un règlement de comptes personnel ? D’un Clochemerle modernisé par transposition sur
la Toile ? De l’expression d’un vil ressentiment occupant la place de nos articles d’information et d’analyse ?
Si c’était le cas, chacun perdrait son temps.
Il s’agit en vérité de répondre à des questions fondamentales qui sont :
L’anonymat journalistique (recours aux pseudos) est-il acceptable, non pas pour préserver sans risque un droit d’expression, mais pour calomnier un adversaire choisi et pour chauffer à blanc des lecteurs qui en appelleront à la violence physique ?
Le mensonge est-il permis pour discréditer un adversaire ?
La duplicité est-elle un outil normal d’investigation ?
La virulence des attaques contre quiconque défend « le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » est-elle anodine sur un site anarchisant ?
Le silence sur le principal parti d’extrême droite français et sur la politique des « Faucons du Pentagone » est-il anodin sur un site anarchisant ?
Des sites Internet sans trop de moyens ni d’expérience peuvent-ils être facilement infiltrés ? Et par qui ?
Premier chapitre
Juin 2008 : après avoir débattu dans une librairie marseillaise, un administrateur du GS avait dîné avec un petit groupe dont faisait partie une jeune journaliste, Ornella Guyet. Ils sympathisèrent par cousinage idéologique et restèrent en contact épistolaire.
Janvier 2009 : dans un mail pour présenter ses vœux, elle sollicita une aide pour trouver une colocation à Paris. L’administrateur toulousain la recommanda au webmaster parisien du GS, lequel se démena et lui procura une adresse béton.
Juillet 2010 : de passage à Toulouse, elle exprima avec insistance (mails, téléphone) le désir de rencontrer l’administrateur. Soit ! Deux heures de discussion amicale en terrasse d’un café. Sujets : LGS, le Plan B, CQFD, le Diplo et les problèmes professionnels de la journaliste plutôt désoeuvrée. LGS n’embauche pas (bénévolat). Puis : bisou, salut Ornella, donne de tes nouvelles…
Deuxième chapitre
Mars 2011 : un virulent article d’un site,
http://www.article11.info/ , qu’on croyait ami, dénonce les deux administrateurs en question, accusés de publier
« des textes fascisants » et d’avoir dérivé vers le négationnisme, le rouge-brunisme, le conspirationnisme, le confusionnisme, l’antisémitisme (on en oublie).
Cette crapulerie était signée Marie-Anne Boutoleau et Rashkounine. Ce dernier pseudo a été créé spécialement pour l’occasion et n’est jamais réapparu depuis. Quand à sa complice, elle se targuait d’écrire pour CQFD et ACRIMED. La réaction des lecteurs du site agresseur fut telle qu’elle dut alors rédiger une centaine de commentaires (parfois en milieu de nuit) pour convaincre et pour en rajouter dans son entreprise de démolition de ces deux administrateurs du GS, nommément calomniés.
Avril 2011 : à un administrateur du GS lui demandant si elle connaît Marie-Anne Boutoleau et Rashkounine, Ornella Guyet écrivit : « J’ai bien reçu ton message, mais très franchement, je n’ai vraiment aucune envie de prendre part à ce débat. »
Sans oser y croire, vous avez évidemment deviné la chute (notre surtitre vous y aidait) : Marie-Anne Boutoleau est le pseudonyme d’Ornella Guyet, celle-là même qui eut l’occasion de découvrir en juin 2008, janvier 2009 et juillet 2010 dans les conditions susdites, deux administrateurs du GS dont elle dénonce à présent avec horreur (et derrière son masque) la « dérive droitière » constatée « depuis trois ou quatre ans ».
Troisième chapitre (car ce n’est pas tout)
Il faut maintenant infirmer ou confirmer les informations suivantes :
En Mars 2009, abusivement présentée comme « Professor à ACRIMED », l’"anarchiste" Ornella Guyet a été une participante active à un séminaire organisé à Paris par le Center for the Study of International Communications et
la School of Media and Public Affairs de l’Université George Washington, de Washington (connue pour être un lieu de recrutement de
la CIA) et présidé par Lee W. Huebner personnalité du Parti Républicain états-unien et qui fut un proche de Richard Nixon.
Selon
http://www.discoverthenetworks.org/ , l’ensemble du réseau INDYMEDIA (IMC) reçoit une aide financière de l’Open Society Institute (de George Soros) et de
la Fondation Ford, deux paravents translucides de
la CIA. Ornella Guyet est (discrètement) administratrice du site Indymédia Paris.
Si ces allégations sont fausses, LGS fera amende honorable en regrettant d’avoir adopté ostensiblement la mimique du suspicieux type (front plissé, un sourcil levé, regard vers le ciel). Il le fera par écrit, dans une missive qu’il remettra en main propre à Rashkounine. Celui-ci nous expliquera sans doute en cette occasion pourquoi ils sont mous du genou,
http://www.article11.info/ , son webmaster masqué, et Boutoleau/Guyet dès qu’il s’agit de dénoncer la politique étrangère américaine (OTAN, Israël…) et la principale force d’extrême droite française (le FN) et d’où leur vient cette rage à étiqueter
« rouges-bruns » les journalistes qui écrivent la vérité sur la situation dans les pays
« en résistance » face à l’Empire et à ses alliés.
A titre d’information, nous donnons à lire par le lien ci-dessous une enquête de l’UPR sur le sujet. Si certains passages de ce document peuvent frôler « l’effet de halo » (O. Guyet, spécialiste de la méthode, aurait mauvaise grâce à s’en offusquer), il apporte néanmoins des éléments troublants et inédits sur cette affaire et il pose à Ornella Guyet vingt questions dont on attend la réponse avec gourmandise.
2 - Plainte du site de l’UPR :
Dépot de plainte à l’encontre de Mlle Ornella Guyet et des sites internet Indymedia et Rebellyon
· · COMMUNIQUÉ DE L’UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE
DÉPÔT DE PLAINTE À L’ENCONTRE DE Mlle Ornella GUYET (alias « Marie-Anne Boutoleau »),ET DES SITES INTERNET INDYMEDIA ET REBELLYON, POUR DIFFAMATION, INJURES PUBLIQUES, REFUS DU DROIT DE RÉPONSE ET ATTEINTE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
1°) Mlle « Marie-Anne Boutoleau », qui se présente comme « journaliste indépendante », a commencé, depuis maintenant quelques semaines, à injurier publiquement François Asselineau et l’UPR, en leur appliquant de façon répétée les qualificatifs d’
« extrême droite », de
« profondément réactionnaires », d’
« ultra-nationalistes » et de
« fascistes ». Elle a diffusé ces injures, notamment sur le site Internet Indymedia Paris, afin de leur assurer la plus grande publicité.
2°) Le nom de « Marie-Anne Boutoleau » est un pseudonyme. Son vrai nom à l’état civil est Mlle Ornella Guyet. Ses activités de
« journaliste indépendante » semblent minces si l’on en juge par le nombre infime d’articles recensés par Internet sur son nom. Elle n’a jamais rencontré François Asselineau, pas plus qu’elle n’a jamais manifesté le souhait de le rencontrer, avant d’entamer sa campagne d’injures et de diffamation.
3°) Suite aux premiers écrits injurieux et diffamatoires de Mlle Ornella Guyet – alias « Marie-Anne Boutoleau » -, l’Union Populaire Républicaine a transmis à l’intéressée des réponses circonstanciées en lui demandant de bien vouloir les publier sur le site Indymedia Paris, et cela conformément au droit de réponse reconnu par la loi.
4°) Mlle Ornella Guyet a continuellement refusé de publier nos réponses ou de faire des correctifs, en arguant en substance qu’il était hors de question de « donner la parole à des fascistes ».
Il y a donc bien eu atteinte avérée, de la part de Mlle Ornella Guyet et du site Indymedia, au droit de réponse prévu par la loi pour toute personne ou tout organisme s’estimant injurié ou diffamé dans une publication.
5°) Le 4 juin courant, Mlle Ornella Guyet a franchi un pas décisif dans la provocation et l’illégalité, en publiant, sur le site Internet Rebellyon, sous la signature
« Des anti-fascistes lyonnais et parisiens, avec la documentation réunie par Marie-Anne Boutoleau, journaliste indépendante », un article classé dans la rubrique
« facho » et intitulé
« Attention, l’ultra-droite souverainiste débarque à Lyon ! »
6°) Dans cet article, l’intéressée a de nouveau repris des éléments diffamatoires et injurieux de ses écrits précédents à l’encontre de l’UPR et de son président. Nous en recenserons ici 4 exemples, sans prétendre pour autant être exhaustifs à ce stade :
6.1. – s’agissant de la conférence de François Asselineau sur l’Histoire de France, Mlle Ornella Guyet la décrit comme une présentation
« profondément réactionnaire », une
« antienne de l’extrême-droite », « ultra-nationaliste », etc. En ne citant que quelques mots extraits d’une conférence de trois heures et demie, elle passe sous silence des pans entiers de la présentation et le fil conducteur lui-même de la démonstration, qui ruinent ses calomnies.
Comme le savent les dizaines de milliers d’internautes qui ont déjà consulté et applaudi cette conférence, le président de l’UPR y insiste par exemple sur le refus de donner à la nation française un caractère ethnique depuis au moins Clovis, souligne l’ancienneté de la soif de justice et d’égalité dans le peuple français, dénonce le gouffre qui se creuse régulièrement entre le peuple français et ses élites, rend hommage aux Soldats de l’An II, exalte les valeurs républicaines de Liberté, d’Égalité, de Fraternité, de Laïcité et de Droits de l’Homme, souligne le caractère rétrograde du Premier Empire, de
la Restauration et du Second Empire, exalte le rôle émancipateur de l’exemple républicain français pour de nombreux peuples du monde, flétrit
la Collaboration et le régime de Vichy, magnifie les rôles de Félix Eboué et du réseau Manouchian dans
la Résistance, etc., etc.
Le résumé que Mlle Ornella Guyet ose faire de cette conférence n’est donc pas seulement grossièrement mensonger : il est exactement contraire à l’esprit qui anime la conférence. Cette manœuvre est d’autant plus abjecte que c’est en partie sur ce fondement qu’elle appelle les manifestants à venir
« combattre le fascisme », en interdisant la tenue de nos conférences lyonnaises.
La constitution du délit de diffamation est donc avérée.
6.2. – Deuxième exemple : Mlle Ornella Guyet affirme dans cet article que
« C’est sans étonnement qu’on le voit nommé par Nicolas Sarkozy le 20 octobre 2004 à la tête de la direction générale à l’intelligence économique à Bercy, et travaille alors en étroite collaboration avec Jean-Pierre Raffarin, autre grand casseur de droits sociaux s’il en est ».
Il s’agit d’une affabulation totale : François Asselineau n’a jamais rencontré M. Raffarin, ni
a fortiori travaillé avec lui, ni n’a jamais participé à quelque décision de
« casse de droits sociaux ». Bien au contraire, M. Asselineau a vu son action entravée à ce poste parce qu’il soulignait les effets sociaux néfastes de l’euro et de la construction européenne !
Cette série d’allégations mensongères de Mlle Ornella Guyet est constitutive du délit de diffamation et l’insulte de « casseur de droits sociaux » , de même que le classement de l’article dans la rubrique « facho », relèvent du délit d’injures publiques.
6.3. – Troisième exemple : Mlle Ornella Guyet affirme dans cet article qu’il
« finit par être mis sur la touche par Sarkozy en raison de ses prises de position en faveur du protectionnisme ».
Cette allégation est également totalement dénuée de fondement, à deux égards :
– la fin des fonctions de Délégué général à l’intelligence économique de M. Asselineau n’a pas été prise par M. Sarkozy. Elle a été décidée au printemps 2007 par le ministre de l’économie et des finances, M. Thierry Breton, sous la présidence de M. Jacques Chirac.
– cette décision n’a absolument pas été prise «
en raison de ses prises de position en faveur du protectionnisme » mais parce que ses analyses sur la crise financière mondiale à venir et sur l’inéluctable éclatement de l’euro furent jugées inacceptables par le ministre (qui poursuit depuis lors sa carrière comme enseignant à l’université de Harvard, aux États-Unis).
L’allégation de Mlle Ornella Guyet est donc mensongère, et constitutive du délit de diffamation.
6.4. – Quatrième exemple : Mlle Ornella Guyet affirme de façon haineuse :
« Quelques mots pour finir sur l’invitation d’Asselineau à Radio Canut : ce n’est pas la première fois que notre homme tente de se faire inviter ou se fait inviter par des radios de gauche, sinon alternatives. Ce genre d’invitations lui servent de caution contre les mauvaises langues qui auraient l’audace de le dénoncer comme un personnage d’extrême droite. ».
On notera que, dans la logique de Mlle Ornella Guyet, lorsque François Asselineau se fait inviter par des radios classées à droite, c’est qu’il est évidemment de mèche avec ces radios, tandis que lorsqu’il se fait inviter par des radios classées à gauche, c’est tout aussi évidemment qu’il le fait dans le but perfide de «
servir de caution contre les mauvaises langues qui auraient l’audace de le dénoncer comme un personnage d’extrême droite. »
En présentant les choses de la sorte, Mlle Ornella Guyet travestit totalement la réalité en occultant soigneusement deux éléments essentiels d’appréciation :
- d’une part François Asselineau n’est nullement l’habitué d’une radio en particulier. Les rares invitations qui lui ont été faites à s’exprimer dans une radio se sont réparties de façon spontanément assez équilibrée entre droite et gauche au cours des 3 dernières années :
- Radio Courtoisie (pour une émission sur la francophonie) ; cette radio est en effet classée très à droite, mais pas de façon univoque puisqu’elle a interrogé de très nombreuses personnalités politiques ou universitaires de droite et du centre, y compris des membres du gouvernement et des académiciens. En outre, Mlle Guyet ne précise pas que M. Asselineau n’a pas été réinvité par Radio Courtoisie depuis 2 ans car il y est jugé trop à gauche.
- une seule fois sur Radio Générations 88.2 (classée à gauche),
- trois fois sur Radio Notre Dame (classée au centre),
- une seule fois sur Radio Ici et Maintenant (classée plutôt à droite),
- une seule fois sur Radio Yvelines 88.4 (apolitique),
- une seule fois sur Radio Divergences Montpellier (classée plutôt à gauche).
- d’autre part, Mlle Guyet ne dit pas un seul mot du contenu des émissions, ni des propos tenus par François Asselineau au cours de ces émissions. Or, savoir ce que le président de l’UPR a dit est évidemment essentiel pour pouvoir porter un jugement éclairé.
- Par exemple, son interview sur Radio Courtoisie dans une émission concernant la francophonie il y a 2 ans ne prend tout son sens que si l’on rappelle ce qu’il y a dit. Le président de l’UPR a souligné que la défense et la promotion de la langue française ne s’obtiendraient pas par la défense bec et ongles de quelques règles de grammaire surannées chères aux érudits, mais par une position ferme vis-à-vis de l’hégémonie américaine. Pour illustrer son propos, il a rappelé qu’au cours des années récentes, les Alliances Françaises à travers le monde n’ont jamais connu autant d’affluence de personnes souhaitant suivre des cours de français que lorsque la France s’est opposée à la Guerre en Irak au Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies en 2003.
- Autre exemple : lors de l’un de ses passages sur Radio Notre Dame, en octobre 2008, François Asselineau a été opposé à l’essayiste libéral Nicolas Baverez ; il y a démontré en quoi l’ultra-libéralisme et le capitalisme financier étaient en train de conduire à l’effondrement des économies occidentales, et à une régression économique et sociale sans précédent en France.
Ainsi doublement replacées en perspective, les allégations de Mlle Ornella Guyet sur les passages radios de François Asselineau et sur les intentions perfides qui animeraient le président de l’UPR sont profondément calomniatrices, tout comme l’imputation, aussi intolérable que burlesque, d’être
« d’extrême droite ». Elles sont aussi mensongères que faciles à réfuter immédiatement, par l’écoute de ces émissions qui ont été enregistrées.
Les accusations de Mlle Ornella Guyet sont une nouvelle fois constitutives du délit de diffamation et d’injures publiques.
7°) Allant plus loin, Mlle Ornella Guyet a lancé, dans l’article de Rebellyon, un appel implicite à la violence et à l’atteinte à la liberté d’expression, au nom d’un prétendu combat
« antifasciste ».
Se félicitant implicitement d’avoir fait annuler l’interview radio que François Asselineau avait prévu de donner à une radio locale (Radio Canut), l’article a appelé les militants « anarchistes libertaires » de Lyon à empêcher la tenue des conférences du président de l’UPR, en titrant explicitement :
« Asselineau dégage ! » et en expliquant :
« [François Asselineau] a même tenté de s’inviter à Radio Canut ce mardi 7 juin, mais l’émission a pu être annulée à temps, ce dont nous nous félicitons. Néanmoins, comme d’autres conférences sont prévues – notamment au centre multiculturel Art Dreams, en plein coeur de la Croix-Rousse – il n’est pas inutile de rappeler qui est François Asselineau et pourquoi il faut le combattre. »
8°) De fait, le gérant de l’espace Art Dreams qui avait donné son accord depuis plusieurs semaines pour que le Président de l’UPR puisse venir y faire une conférence intitulée « La tragédie de l’euro » (conférence de haute tenue intellectuelle et technique, comme toujours) a préféré annuler, avec regret, cette réunion publique, du fait des messages menaçants reçus sur son adresse électronique à la suite de l’article de Mlle Ornella Guyet sur le site Rebellyon.
Il y a donc bien eu atteinte avérée et concrétisée à la liberté d’expression de la part de Mlle Ornella Guyet et du site Rebellyon qui a relayé son appel.
Conclusion
Pour l’ensemble des raisons qui viennent d’être énumérées, et sans prétendre à l’exhaustivité de nos griefs à ce stade, l’Union Populaire Républicaine (UPR) a décidé de déposer plainte, à l’encontre de Mlle Ornella Guyet (alias « Marie-Anne Boutoleau »), et des sites Internet Indymedia et Rebellyon, pour diffamation, injures publiques, refus du droit de réponse et atteinte à la liberté d’expression.
3 – Page « facebook » de l’UPR :
QUI VEUT NUIRE À L'UPR ? Dr JEKYLL & Mrs HYDE : « L’ANTIFASCISTE » BOUTOLEAU ET LA TRÈS AMÉRICANOPHILE « PROFESSOR » GUYET
L'Union Populaire républicaine et son président François Asselineau ont fait l'objet, depuis plusieurs semaines, d'attaques extrêmement virulentes de la part de "Marie-Anne Boutoleau", prétendue "journaliste indépendante" dont le véritable nom est Mlle Ornella Guyet.
Ces attaques, diffusées sur les sites Internet INDYMEDIA Paris et REBELLYON, ont eu notamment pour effet d'empêcher la tenue d'une conférence à Lyon, deux gérants d'établissements ayant été successivement contraints, sous l'effet du climat de violence entretenu sciemment par Mlle Guyet et ses relais locaux, d'annuler les locations qu'ils nous avaient accordées.
Nous n'avions rien demandé à personne. Mais lorsque l'on nous cherche et que l'on veut nous intimider, au mépris des lois de la République, on nous trouve.
C'est pourquoi ces événements ont conduit l'UPR à déposer plainte contre Mlle Guyet et les deux sites Internet concernés, pour diffamation, injures publiques, refus du droit de réponse et atteinte à la liberté d'expression. (Cf. communiqué de l'UPR : http://www.facebook.com/note.php?note_id=10150201642937038)
La violence et l'impunité apparente de ces attaques, de même que la précision troublante de certaines informations (qui donnent à penser que Mlle Guyet dispose de fichiers de nature policière) nous ont par ailleurs légitimement conduit à nous intéresser à cette curieuse "journaliste indépendante", de même qu'aux deux sites sur lesquels elle a publié ses écrits diffamatoires et sur lesquels elle semble disposer d'une véritable autorité (Mlle Guyet est administratrice de INDYMEDIA Paris).
Les résultats de notre enquête, menée uniquement grâce à Internet, nous ont paru suffisamment intéressants pour être portés à la connaissance du public. Nos lecteurs les trouveront ci-après. Une liste de questions, publiées sous forme de lettre ouverte à Mlle Guyet, en sert de conclusion provisoire.
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= I = Dr JEKYLL & Mrs HYDE : « L’ANTIFASCISTE » BOUTOLEAU ET LA TRÈS AMÉRICANOPHILE «PROFESSOR» GUYET
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La première surprise révélée par Internet est que Mlle Ornella Guyet a été retenue pour être l'un des 25 intervenants, triés sur le volet, dans un Séminaire sur les Médias Internationaux, organisé à Paris du 15 au 21 mars 2009 sous l’égide du Center for the Study of International Communications et de la School of Media and Public Affairs de l’Université George Washington de Washington.
(Séminaire : http://www.gwu.edu/~smpa/documents/ParisSeminarScheduleMarch2009.pdf)
Cette information mérite 3 précisions :
a)- le Séminaire était co-organisé d'une part par le "Center for the Study of International Communications"
Or ce séminaire est présidé par Mr Lee W. Huebner et dirigé par sa femme Berna, deux éminentes personnalités du Parti Républicain américain. Comme nous le précisons ci-infra (puisque le couple a reçu les participants au séminaire dans leur somptueuse résidence parisienne), Mr Lee W. Huebner a notamment été l'un des plus proches collaborateurs du Président Nixon à
la Maison Blanche et est le président fondateur de la « Ripon Society », club de réflexion et de lobbying républicain, d'après le nom du village de Ripon (Wisconsin) où fut créé le Parti Républicain. Quant à son épouse, elle était auparavant "Directeur de recherche" pour Nelson Rockefeller lorsqu'il était Gouverneur de l'Etat de New York puis 41ème Vice-président des États-Unis.
b)- le Séminaire était co-organisé d'autre part par la George Washington University à Washington
Or :
- Cette Université George Washington, située à Washington, est notamment connue pour être l'un des hauts lieux de formatage des élites américaines à la pensée unique ultra-libérale. On en prendra pour simple exemple la récente allocution de Dominique Strauss-Kahn, Directeur général du Fonds monétaire international, à la George Washington University, le 4 avril 2011 : «À enjeux mondiaux, solutions mondiales» http://www.imf.org/external/french/np/speeches/2011/040411f.htm
- Cette Université George Washington, située à Washington, est également connue pour être un lieu de recrutement de la Central Intelligence Agency (CIA), un certain nombre d'enseignants y servant d'enseignants et d'agents recruteurs (Source : http://www.commondreams.org/headlines/041800-02.htm). Comme le précise la fin de cet article du Washington Post cité en source, "CIA officers in schools are there to teach--not recruit, he said. Instructors often are asked by students about CIA careers, and they are referred to recruiters. And the recruiters, of course, don't turn them away." [Traduction : "Les officiers de la CIA sont dans ces universités pour enseigner et non pas pour recruter - officiellement. Mais les instructeurs sont souvent interrogés par les étudiants sur le type de carrière que peut leur offrir la CIA et ils sont alors dirigés vers des recruteurs. Lesquels recruteurs, bien évidemment, ne les décourage pas".]
c)- Mlle Ornella Guyet a été retenue comme l'un des 25 intervenants triés sur le volet, 21 des intervenants étant des Américains proches des allées du pouvoir.
Pour bien prendre la mesure du caractère extrêmement saugrenu de la présence de l'anarchiste "Marie-Anne Boutoleau" (= Mlle Guyet, 22ème Intervenant) dans ce cénacle de dirigeants américains de la politique, des affaires et des médias, il est utile de préciser quels étaient les 25 intervenants à ce Séminaire ultra-chic (dont les soirées se déroulaient dans les demeures parisiennes somptueuses de plusieurs intervenants américains) :
1er Intervenant : Mrs Constance Borde
Mme Constance Borde est la représentante officielle du Parti Démocrate en France. Pour illustrer le personnage, citons cet échange daté du 1er novembre 2004 par le journal Le Monde :
- « Si vous deviez classer le Parti démocrate sur l'échelle des partis politiques français, où le mettriez-vous ?
- « Constance Borde : Je mettrais le Parti démocrate à la droite de l'UMP. Le social en France fait partie de la base des programmes de tous les partis : la santé, l'éducation et les impôts. Aux Etats-Unis, la santé publique est considérée comme un programme d'extrême gauche. »
Source : http://www.lemonde.fr/ameriques/chat/2004/11/01/le-vote-des-americains-de-l-etranger_1373_3222.html
2ème Intervenant : Mrs Nancy Asthalter
Nancy Asthalter est une riche et généreuse mécène du Parti Démocrate américain puisqu'elle a versé un total de 3.500 dollars au cours de l’année 2008 au fond de campagne pour l’élection de Barack Obama. (Source : http://www.campaignmoney.com/political/contributions/nancy-asthalter.asp?cycle=08)
3ème Intervenant : Mrs Swardson
"Senior European Editor" de l’Agence financière Bloomberg de New York, Mme Swardson était auparavant Chef du bureau parisien du Washington Post. Il y a 11 ans, elle fut l'auteur d'un article de presse qui fut très largement promu médiatiquement en France à l'époque, paru dans le Washington Post du lundi 31 juillet 2000 et intitulé
The New French Revolution, dont voici un extrait emblématique :
- "There's a new French revolution underway. Propelled by political leaders and economic globalization, the country is transforming itself from a centralized, parochial, government-loving society with a distaste for wealth to a dynamic, entrepreneurial nation fond of stock options and startups."
- (Traduction : "Une nouvelle Révolution française est en cours. Propulsée par les responsables politiques et la mondialisation économique, le pays se transforme, en passant d'une société centralisée, ayant l'esprit de clocher et le goût de l'Etat et méprisant la richesse en une nation dynamique d'entrepreneurs, passionnée par les 'stock options' et les 'start-up'. ")
(Source : http://www.hartford-hwp.com/archives/61/126.html.)
4ème Intervenant : Mrs Eileen Bastianelli
Productrice et spécialiste des stratégies « brand content » et diplômée de l’Université de Californie et de Sciences Po Paris, Mrs Bastianelli est une riche Américaine, PDG fondatrice de Lola Pictures (Source : http://fr.linkedin.com/in/eileenhorowitzbastianelli.)
5ème Intervenant : Mrs Janine di Giovanni
Journaliste américaine qui a réalisé des reportages sur
la Palestine,
la Bosnie, etc., Mrs di Giovanni a participé, du 6 au 8 octobre 2008, à un weekend de débat avec Alain Minc et Bernard-Henri Lévy dans un club très sélect, sur le thème "le hiatus franco-britannique" (Source : http://www.fullofchic.com/foc/article/view.go?articleid=127)
Elle s’est aussi fait, entre autres, une spécialité du « french bashing » (c'est-à-dire de la critique obsessionnelle des Français). Dans un livre récent sur
la France, elle a ainsi écrit de nombreuses énormités, et notamment celle-ci :
"
- "No one lives on credit in France because banks don’t allow overdrafts and zero percent credit cards do not exist." (Traduction : personne ne vit à crédit en France parce que les banques n'autorisent pas les découverts et les cartes de crédit avec découvert à zéro pour cent d'intérêt n'existent pas")
(Source : un blog qui pointe les mensonges éhontés de cette pseudo-journaliste
: http://franceblogcom.blogspot.com/2008/12/janine-di-giovanni-embelishes-her-story.html.)
6ème Intervenant : Mrs Harriet Rochefort
Journaliste américaine indépendante née dans l’Iowa et installée en France depuis 1971, Mrs Rochefort a notamment travaillé pour le magazine Time.
(Source : http://us.macmillan.com/author/harrietweltyrochefort.)
7ème Intervenant : Mr Jim Bittermann
Correspondant à Paris de la chaîne de télévision américaine CNN, Mr Bittermann est l'un des piliers de la communauté américaine à Paris, très introduit dans les cercles de l'ambassade des Etats-Unis en France et dans certains cercles gouvernementaux français.
Voici un échange instructif le concernant (forum en ligne du magazine l’Express du 2 juin 2008) :
- « Question : - On dit que les Etats-Unis se sont rapprochés de la France depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir. Est-ce vrai ?
- Jim BITTERMANN: Dans une certaine façon je pense que oui, l'arrivée de Nicolas Sarkozy est un bon moyen de relancer les rapports entre la France et les États Unis qui ont été détériorés après les désaccords concernant la guerre en Irak. Les décisionnaires aux États Unis et en France cherchaient le moyen d'améliorer les relations et l'élection de Nicolas Sarkozy est arrivée à point. »
(Source : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/les-americains-et-les-francais-sont-deja-reconcilies_506637.html.)
Jim Bittermann a été promu au titre de Chevalier de
la Légion d’Honneur le 30 juin 2008 lors d’une cérémonie officielle présidée par le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. Jim Bittermann aime à répéter qu’il “
explique la France et les Français au reste du monde” depuis trente ans. Le journaliste a couvert toute l’actualité française pour CNN International depuis trois décennies. Il y est devenu le visage et la voix des événements qui surviennent en France et dans le monde francophone. Jim Bittermann apparaît également à de nombreuses reprises en tant que professeur et modérateur de panels de discussion comme au forum économique de Davos, et effectue de nombreuses visites dans des écoles et universités aux États-Unis afin d’y expliquer son travail ou de décrire à quoi ressemble la vie en France.
(Source : http://teleobs.nouvelobs.com/articles/le-correspondant-de-cnn-en-france-chevalier-de-la-legion-d-honneur)
8ème Intervenant : Mr Steven Ekovitch
Steven Ekovich est Américain et professeur de politique internationale à l’American University of Paris et enseignant à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris. Assez fréquemment invité dans les médias français au titre de politologue, c'est également un habitué des "cercles de réflexion"
(Source : http://www.thekitson.net/d%C3%AEners-d%C3%A9bats/)
9ème Intervenant : Mr Jon Randall
Ancien correspondant de guerre au Washington Post
10ème Intervenant : Mrs Ann Bagamery
« Senior editor » à l’International Herald Tribune
11ème Intervenant : Mr Robert Fredovich
Directeur de
la Communication marketing dans le groupe Publicis, diplômé de l’université de Boston
12ème Intervenant : Mr Lee W. Huebner
Ancien directeur adjoint du service de rédaction des discours du Président Nixon à
la Maison Blanche.
Ancien Rédacteur en chef et PDG du journal International Herald Tribune de 1979 à 1993.
Lee W. Huebner a été Président de l’American University of Paris et le président fondateur de la « Ripon Society », club de réflexion et de lobbying républicain, d'après le nom du village de Ripon (Wisconsin) où fut créé le Parti Républicain. (Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Ripon_Society).
Mr Huebner est actuellement :
- Professeur de médias et affaires publiques (Professor of Media and Public Affairs) à l’Université George Washington (située à Washington DC),
- Président du "Center for the Study of International Communications" à Paris,
- Directeur des Investissements Media du Fonds de l'Aga Khan pour le Développement économique.
(Source : http://www2.mssu.edu/paris/huebner.htm)
13ème Intervenant : Mrs Berna Huebner
Berna Huebner est directrice du "Center for the Study of International Communications" situé à Paris. Elle était auparavant "Directeur de recherche" pour Nelson Rockefeller lorsqu'il était Gouverneur de l'Etat de New York puis 41ème Vice-président des Etats-Unis.
(Source : http://www2.mssu.edu/paris/huebner.htm)
14ème Intervenant : M. Jean-Marc Illouz
Grand reporter de France 2
15ème Intervenant : Mr Adnan Siddiqi
Chef du service de presse et d’information de l’ambassade des États-Unis en France. Ce diplomate américain a par exemple été l’auteur d’un long message repris sur le site du Département d’État américain et célébrant l’amitié entre le Président Obama et Nicolas Sarkozy : http://blogs.state.gov/index.php/site/entry/un_moment_historique.
16ème Intervenant : Mr Frank Schork
Ancien bibliothécaire de l’American University of Paris
17ème Intervenant : Mr Waddick Doyle
Professeur du département des communications internationales à l’American University of Paris
18ème Intervenant : Mr Kay Rolland
A occupé des postes de direction au Wall Street Journal Europe et à l’international Herald Tribune
19ème Intervenant : Mr Alan Riding
Journaliste au New York Times
20ème Intervenant : Mr François Sergent
Journaliste à Libération (visite rapide du journal pendant 1 heure)
21ème Intervenant : Mr John Morris
Ancien chef de l’Agence de photo reportage Magnum Éditeur à la retraite de photos de reportage, notamment pour le magazine Life, le New York Times, le Washington Post, etc.
====> 22ème Intervenant : Mlle Ornella Guyet
Présentée dans le programme comme « Professor à ACRIMED », ce qu'elle n'est pas (Mlle Guyet n'est pas "professeur" de quoi que ce soit), Mlle Guyet a été chargée de recevoir les participants au séminaire du "Center for the Study of International Communications" pendant une longue durée (1 heure et demie) sur le thème « The 5th Estate : the watchdogs over the watchdogs » (Traduction : « le 5ème Pouvoir : les chiens de garde au-dessus des chiens de garde »).
Mlle Guyet est intervenue dans le cadre d'un "Programme parrainé par Georges Kazolias, professeur de journalisme à l’American University of Paris".
23ème Intervenant : M. Jean Lesieur
Producteur exécutif à la chaîne de télévision France 24. Avait auparavant collaboré notamment à
L'Express et au
Point et avait dirigé la rédaction du magazine
Gala. Postérieurement à ce séminaire, Jean Lesieur a été été nommé directeur de la rédaction de France 24 le 16 septembre 2010, avec l’approbation de Nicolas Sarkozy
(Source : http://www.lepoint.fr/societe/jean-lesieur-nomme-directeur-de-la-redaction-de-france-24-16-09-2010-1237156_23.php)
24ème Intervenant : Mrs Cathy Nolan
Ancien chef du bureau parisien du magazine People, spécialisée dans la presse du cœur et des célébrités
25ème Intervenant : Mrs Madeleine Czigler
Spécialiste de mode, correspondante à Paris de
la Canadian Broadcasting Corporation
En conclusion de cette partie, les 25 intervenants du Séminaire en question se composaient donc :
- - de 21 Américains représentant des classes les plus fortunées de la société américaine (pouvoir, affaires, médias)
-- Jean-Marc Illouz (grand reporter à France 2) ;
-- François Sergent (journaliste à Libération) ;
-- Jean Lesieur (Producteur exécutif à la chaîne de télévision France 24, choisi ensuite par Nicolas Sarkozy pour devenir directeur de la rédaction
) ;
-- et... Mlle Guyet (prétendue "journaliste indépendante").
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= II = LES LIENS ÉTRANGES DES SITES INDYMEDIA ET REBELLYON AVEC LES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE
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La qualité technique des sites Internet Indymedia Paris et Rebellyon a par ailleurs retenu notre attention car nous savons par expérience que disposer d'un site Internet très ergonomique a un coût que nous n'avons pas eu les moyens de nous offrir.
Si l'UPR a été financièrement contrainte d'avoir recours à des adhérents et sympathisants bénévoles pour réaliser son site Internet gratuitement, comment se fait-il que les sites INDYMEDIA Paris et REBELLYON soient si professionnels ? Comment les "anarchistes libertaires" de ces deux sites ont-ils pu se les offrir ?
C'est en partant de cette question légitime que notre enquête nous a conduit à regarder de plus près qui se trouvaient derrière ces deux sites. Or, comme si les découvertes qui précèdent ne suffisaient pas à faire naître l'hypothèse de liens suspects entre Mlle Guyet et les cercles d'influence américains, notre enquête menée sur les sites Internet "Indymedia" et "Rebellyon" a permis de mettre à jour les liens étranges qu'entretiennent également ces deux sites avec les États-Unis.
- LE SITE « INDYMEDIA » est hébergé chez LAYERED TECHNOLOGIES Inc., très grosse entreprise américaine dont les principaux centres de traitement et de stockage des données se situent à Dallas (Texas), Kansas City (Kansas), Chicago (Illinois) et Cedar Falls (Iowa).
(Source : http://www.layeredtech.com/why-layeredtech/data-centers/)
Par ailleurs, à en croire le site très bien informé DISCOVERTHENETWORKS.ORG, l'ensemble du réseau INDYMEDIA (IMC) recevrait une aide financière :
- du George Soros’s Open Society Institute,
- de la Fondation Ford (qui est l'un des habituels faux nez des services secrets américains),
- de la Glaser Foundation,
- et de la Tides Foundation (qui aurait versé à INDYMEDIA un don de 376.000 dollars en 2001).
(Source : http://www.discoverthenetworks.org/groupProfile.asp?grpid=6282)
Notons que la Tides Foundation reçoit elle-même ses propres fonds d'un grand nombre de fondations, parmi lesquelles la Fondation Rockefeller, mais aussi directement des fonds du gouvernement fédéral américain. Entre 1997 et 2001, ces fonds gouvernementaux américains servant à financer INDYMEDIA ont notamment comporté :
- 395.219 dollars du Département de l'Intérieur of Interieur ;
- 3.350.431 dollars de l'Agence de Protection de l'Environnement ;
- 3.487.040 dollars du Département du Logement et du Développement Urbain ;
- 208.878 dollars du Département de l'Agriculture ;
- 39.550 dollars du Département de l'Energie ;
- 93.500 dollars de la "Small Business Administration";
- 10.986 dollars du Département de
la Santé ;
- et 84.520 dollars du "Centers for Disease Control U.S. Agency for International Development".(Source : http://www.discoverthenetworks.org/funderProfile.asp?fndid=5184)
- LE SITE "REBELLYON" est également hébergé aux USA, chez SWIFT VENTURES Inc, société américaine localisée à Seatlle (État de Washington) .
(Source : http://domaintraker.com/rebellyon.info)
Nous n'avons pas trouvé pour l'instant l'origine de ses financements.
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CONCLUSION
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Toutes les informations qui précèdent sont parfaitement factuelles, et aisément vérifiables sur Internet par nos lecteurs qui le souhaitent (il leur suffit de cliquer sur les liens indiqués).
Ces informations sont suffisamment intéressantes et surprenantes pour que nos lecteurs puissent légitimement se poser de nombreuses questions, et notamment celle de savoir pour qui travaille Mlle Ornella Guyet, alias
"Marie-Anne Boutoleau, journaliste indépendante".
Certains esprits pourraient en effet se demander si nous n’aurions pas affaire, avec Mlle Guyet et ses « anti-fascistes », à l’une de ces organisations financées par un service d’influence américain, comme l’histoire en compte de nombreux exemples, en France et à l’étranger, depuis la fin de
la Deuxième Guerre mondiale.
Rappelons ici par exemple que le syndicat Force Ouvrière fut créé et financé par
la CIA, après
la Seconde Guerre mondiale, par le truchement d'Irving Brown et de Robert Bothereau (http://www.comite-valmy.org/spip.php?article336). Rappelons aussi comment
la CIA a soutenu certains milieux se réclamant du trotskysme ou du maoïsme, certains syndicats étudiants, la construction européenne, etc.
Nous n'affirmons pas ici que Mlle Guyet et ses compères de "l'anti-fascisme" sont forcément des agents de la CIA ou des services d'influence américains. Mais nous dirons que les informations obtenues, plus surprenantes les unes que les autres, ont conduit à ce que le doute s'installe.
Et comme nous supposons que Mlle Ornella Guyet aura à cœur de dissiper ce doute, nous lui adressons ici 20 questions publiques très précises, auxquelles nous la convions à répondre de façon tout aussi précise. Puisque sa passion est de "fliquer" l'UPR en tenant des fiches précises sur les faits et agissements de son président depuis des années, elle ne s'étonnera pas que nous souhaitions à notre tour en connaître davantage sur elle :
- 1°) Mlle Ornella Guyet, pourquoi vous présentez-vous sous le pseudonyme de « Marie-Anne Boutoleau » lorsque vous menez votre combat « antifasciste » [sic], mais sous votre véritable état civil « Ornella Guyet » lorsque vous participez à un séminaire sous l’égide des autorités américaines ou lorsque vous militez à Acrimed ?
- 2°) Vous vous proclamez « journaliste indépendante » mais avez-vous une carte de journaliste ? Si oui, pouvez-vous nous en communiquer les références ?
- 3°) Compte-tenu de la quasi-inexistence de vos articles de journaux disponibles sur le web, chose surprenante pour une « journaliste indépendante », pourriez-vous nous préciser quelles sont vos sources de revenus ?
- 4°) Avez-vous déjà eu des contacts professionnels avec des représentants de l'ambassade des États-Unis en France ou avec d'autres représentants américains officiels ou officieux ?
- 5°) Combien a coûté la fabrication du site INDYMEDIA Paris, dans lequel vous exercez des fonctions de responsabilités telles que vous vous êtes autorisée à refuser à l’UPR le droit de réponse prévu par la loi, suite aux articles diffamatoires et injurieux que vous avez publiés à notre encontre ?
- 6°) Comment ce site INDYMEDIA Paris a-t-il été financé ?
- 7°) Pourquoi, à votre avis, ce site INDYMEDIA Paris est-il hébergé chez LAYERED TECHNOLOGIES Inc., très grosse entreprise américaine dont les principaux centres de traitement et de stockage des données se situent à Dallas (Texas), Kansas City (Kansas), Chicago (Illinois) et Cedar Falls (Iowa) ?
- 8°) Combien a coûté la fabrication du site REBELLYON, dans lequel vous avez publié un nouvel article diffamatoire et injurieux à l’encontre de François Asselineau et de l’UPR le 4 juin courant, article accompagné d'un appel à l’atteinte à la liberté d’expression et d’appel à la violence (« Asselineau dégage ! ») ?
- 9°) Comment ce site REBELLYON a-t-il été financé ?
- 10°) Pourquoi, à votre avis, ce site REBELLYON est-il lui aussi hébergé dans une société américaine, dénommée SWIFT VENTURES Inc, et localisée à Seattle (État de Washington) ?
- 11°) Comment avez-vous fait pour être invitée à faire partie des 25 intervenants triés sur le volet du Séminaire sur les Médias Internationaux, tenu à Paris, du 15 au 21 mars 2009, sous l’égide du Center for the Study of International Communications et de la School of Media and Public Affairs de l’Université George Washington située à Washington ?
- 12°) Pourquoi êtes vous présentée, dans le programme officiel de ce Séminaire, comme « Professor Ornella Guyet de l’Organisation Acrimed » alors que vous n’avez aucun titre de professeur (selon nos informations, vous n’avez pas même encore terminé vos études) ?
- 13°) Comment l’intransigeante « anarchiste libertaire » et « anti-fasciste » que vous affirmez être sous le pseudonyme de « Marie-Anne Boutoleau » a-t-elle pu accepter de participer à un Séminaire organisé par le Center for the Study of International Communications, présidé par Lee W. Huebner, ancien directeur adjoint du service de rédaction des discours du Président Nixon à la Maison Blanche et Président fondateur de la « Ripon Society », club de réflexion et de lobbying pour le Parti Républicain américain ?
- 14°) Comment avez-vous pu accepter de participer à un Séminaire co-organisé par l’Université George Washington située à Washington, qui est connue non seulement pour être l'un des hauts lieux de formatage des élites américaines à la pensée unique ultra-libérale, mais aussi l'un des terrains de chasse privilégiés de recrutement de la Central Intelligence Agency (CIA) ?
- 15°) Avez-vous été rémunérée pour votre prestation comme intervenante à ce Séminaire ? Et si oui, combien ?
- 16°) Avez-vous publié un résumé de votre intervention sur le thème « The 5th Estate : the watchdogs over the watchdogs » (Traduction : « le 5ème Pouvoir : les chiens de garde au-dessus des chiens de garde ») ? Pourrions-nous en avoir copie afin de vérifier que la forme et le fond de cette intervention sont du même genre outrancier que les appels à la haine et à la violence que vous vous permettez d'employer à l'encontre de l'UPR, sous le nom de code "Marie-Anne Boutoleau", sur les sites Internet INDYMEDIA Paris et REBELLYON, hébergés aux États-Unis ?
- 17°) En quoi consiste exactement votre coopération avec l’American University of Paris, puisque vous semblez y travailler sur long terme "dans le cadre d'un Programme parrainé par Georges Kazolias, professeur de journalisme à l’American University of Paris" ?
- 18°) Avez-vous informé les responsables des associations anarchistes ou d'extrême-gauche (telles que Radio Canut où vous semblez être intervenue pour empêcher une interview du président de l'UPR), ou ceux de l'association de transparence des médias Acrimed, de vos travaux à l'American University of Paris et de votre intervention dans un Séminaire organisé par l'ancien responsable des discours du Président Nixon à la Maison Blanche ?
- 19°) Pourquoi l’intransigeante « anarchiste libertaire » et « anti-fasciste » que vous affirmez être sous le pseudonyme de « Marie-Anne Boutoleau » est-elle si discrète sur les agissements de l'OTAN ou sur les preuves qui démontrent que la construction européenne a été conçue et financée par les États-Unis d'Amérique depuis le début ? Pourquoi votre article dans REBELLYON a-t-il même visé au contraire à ridiculiser cette analyse qui est pourtant fondée sur des preuves irréfutables que vous passez sous silence ?
- 20°) Pourquoi estimez-vous que c'est en empêchant l'UPR et François Asselineau de diffuser toutes les informations sur "QUI GOUVERNE LA FRANCE ?" que vous servez l'intérêt des salariés français qui souffrent de plus en plus de la situation ? Avez-vous conscience que votre prétendu "combat anti-fasciste" sert, objectivement, on ne peut mieux les intérêts supérieurs américains ?
Nous attendons vos réponses.
4 – Article de Silvia Cattori :
L’affaire « Ornella Guyet - Marie-Anne Boutoleau »
Les honteux stratagèmes d'une manipulatrice démasqués
Silvia Cattori
Source : Silvia Cattori
Lundi 27 juin 2011
La journaliste qui, sous le pseudonyme de « Marie-Anne Boutoleau », et sous le masque d’une « anarchiste libertaire antifasciste », se livrait depuis plusieurs mois sur divers sites Internet - Article11, Indymedia, Rebellyon (*) - à une frénétique campagne d’accusations calomnieuses contre de prétendus « fascistes », « d’extrême droite », « conspirationnistes », et « antisémites », vient d’être démasquée par l’une de ses cibles : François Asselineau, le président de l’Union Populaire Républicaine (UPR).
Ayant pu établir que le véritable nom de « Marie-Anne Boutoleau » est Mlle Ornella Guyet, l’UPR - dont le programme est de sortir de l’Union européenne, et qui se défend d’être à l’extrême droite [
1] - a déposé plainte contre elle [
2] et apporté à son sujet d’étonnantes révélations. En particulier que Mlle Guyet avait participé sous son vrai nom à un « Séminaire sur les Médias Internationaux », organisé à Paris du 15 au 21 mars 2009 sous l’égide du
Center for the Study of International Communications et de
la School of Media and Public Affairs de l’Université George Washington. Une université qui serait
« connue pour être l’un des hauts lieux de formatage des élites américaines à la pensée unique ultra-libérale (...) [et] également connue pour être un lieu de recrutement de la Central Intelligence Agency (CIA), un certain nombre d’enseignants y servant d’agents recruteurs » [3].La présence dans ce cénacle de celle qui se présente comme «
anarchiste libertaire antifasciste » lorsqu’elle écrit sous le pseudonyme de « Marie-Anne Boutoleau » est pour le moins troublante et soulève bien des questions. Toutefois, l’UPR évite de se livrer à des conclusions trop hâtives :
« Nous n’affirmons pas que Mlle Guyet et ses compères de « l’anti-fascisme » sont forcément des agents de la CIA ou des services d’influence américains. Mais nous dirons que les informations obtenues, plus surprenantes les unes que les autres, ont conduit à ce que le doute s’installe ».Également troublante apparaît dans cette affaire l’attitude d’
Acrimed - un site axé sur la critique du traitement de l’information et la mise en lumière des mensonges de la presse. Dans un billet à ses adhérents qui aurait dû rester confidentiel, au lieu de condamner les inacceptables dérives de sa « collaboratrice » Guyet-« Boutoleau », dont la plume distille mensonges et invectives sur divers sites, le Conseil d’administration d’
Acrimed condamne l’UPR [
4]. Ce qui, du point de vue des personnes lésées, montre une curieuse collusion entre Guyet-« Boutoleau » et
Acrimed.Cette étrange histoire a de quoi désorienter un lectorat de gauche qui accordait jusqu’ici sa confiance à certains des sites incriminés. Elle ne peut que l’inciter à se demander au bénéfice de qui Guyet-« Boutoleau » lançait ses appels à la lutte contre de prétendus « fascistes », et si ces appels n’avaient pas pour principal objectif de créer la division entre des gens qui devraient avoir – et ont sans doute - beaucoup en commun.
Avant de tirer quelques premiers enseignements de ce qui vient d’être dévoilé, il convient de rappeler comment on en est arrivé là.
L’origine de « l’affaire Boutoleau » et ses rebondissements
Le site
Article11 publiait, le 28 mars 2011, un article incendiaire signé « Marie-Anne Boutoleau et Joe Rashkounine », [
5] accusant le site web
Le Grand Soir de publier des «
auteurs issus de l’extrême-droite ou de la mouvance conspirationniste. Une dérive regrettable, sur fond de confusionnisme politique et avec l’anti-impérialisme pour seule grille de lecture ». Parmi ces auteurs, qualifiés pêle-mêle de «
fascistes », «
antisémites », «
négationnistes », «
conspirationnistes » etc : Jean Bricmont, François Asselineau, Michel Collon, Annie Lacroix-Riz, Silvia Cattori, Michel Chossudovsky. D’autres sites web étaient également mis à l’index, parmi lesquels :
Dazibaoueb,
InfoWars,
Mondialisation.ca,
Voltaire.net.S’ensuivit une vive réaction de la part des responsables des sites
Dazibaoueb [
6] et
Le Grand Soir [
7] dénonçant les allégations calomnieuses de Boutoleau et suscitant, sur leurs forums respectifs, un torrent de commentaires.
La goutte qui fit déborder le vase, et précipita le dépôt de plainte de l’UPR contre Ornella Guyet-« Boutoleau », fut la virulente campagne qu’elle mena ultérieurement contre François Asselineau [
8].
À peine le vrai nom de cette « journaliste » était-il révélé par l’UPR que
Dazibaoueb, un des sites visé par ses attaques, dénonçait ses honteux procédés [
9]. Les administrateurs du
Grand Soir, quant à eux, tombaient des nues en découvrant qu’une certaine Ornella Guyet avec laquelle ils avaient, par ailleurs, des échanges amicaux… n’était autre que celle qui les attaquait sous le pseudonyme de « Marie-Anne Boutoleau », et ils en dénonçaient vivement la duplicité [
10] ! Nul ne peut, en effet, accepter de se faire publiquement et indéfiniment insulter. Tôt ou tard les victimes réagissent. Ayant été personnellement visée, nous avons également réagi en demandant, au site
Article 11, un Droit de réponse qui, sans surprise, nous fut refusé [
11].
Il est rare de voir une vraie « conspirationniste » prise en flagrant délit de manipulation
Si à ce stade, les découvertes faites par l’UPR n’ont pas encore permis de démêler tous les fils, la plainte déposée contre Ornella Guyet, a déjà eu pour effet positif de calmer la frénésie dénonciatrice qu’elle déployait sous pseudonyme. Et de mettre en évidence des aspects cachés et inquiétants de la vie politique, en France et dans nos pays respectifs. Aspects qui demeurent généralement inconnus du public, à savoir : l’infiltration de groupes et mouvements par des agents provocateurs agissant sous pseudonymes - que l’on a généralement peine à confondre faute de preuves matérielles [
12] et qui sont par conséquent rarement démasqués.
Ces révélations commencent à lever le voile sur les véritables « conspirationnistes », qui caricaturent, dénigrent, diffament des auteurs qu’ils qualifient, ad nauseam d’ « extrême droite », de « fascistes », d’ « antisémites », de « négationnistes », pour discréditer leurs analyses et les isoler ; et qui, pour y parvenir, instrumentalisent des mouvements dans le but de susciter des divisions parmi des militants, ou simples citoyens, qui ont beaucoup en commun, de façon à les jeter les uns contre les autres dans une guerre fictive et haineuse entre gauche et prétendus « fascistes ».
Quelle chapelle politique servait Mlle Guyet-« Boutoleau », en agissant de la sorte ? La chose reste à éclaircir. Le fait que ce ne soit pas seulement
Article11, qui soit compromis pour avoir publié son brûlot, mais également le site
Acrimed, – dont les membres se présentent comme «
la gauche de la gauche » - qui se solidarise avec son «
adhérente » Guyet-« Boutoleau », soulève de nouvelles questions [
13].
Ce qui est d’ores et déjà certain est que toutes les personnes sur lesquelles elle a voulu jeter le discrédit, dans son article diffamatoire du 28 mars 2011, ont pour caractéristique d’être des critiques vigoureux, soit de la politique impérialiste des puissances alliées de l’Otan, soit de la politique de l’État hébreu (et de certains aspects de cette politique qui restent généralement tabous, y compris au sein du « camp de la paix »), soit des deux à la fois.
Ainsi, sous couvert d’une ligne politique se proclamant «
de gauche » et «
clairement anticapitaliste » - d’une gauche, dit-elle, qui se refuse à avoir «
l’anti-impérialisme pour seule grille de lecture » - la technique grossière que Guyet-« Boutoleau » a utilisée pour discréditer ces auteurs consistait à les accuser, selon les cas, et par amalgame, d’être «
d’extrême droite », «
conspirationnistes », «
antisémites » ou «
négationnistes ». Ou – par exemple pour Jean Bricmont – d’avoir de «
troubles accointances régulièrement dénoncées par des militants antifascistes » [
14]. Cela bien sûr en se dispensant de justifier ses accusations sur la base de ce que ces derniers disent et écrivent réellement. C’est par ce genre de procédé que, s’érigeant en procureur, Guyet-« Boutoleau » cherchait à réduire au silence des authentiques anti-impérialistes !
Cette affaire jette une lumière crue sur les journaux et les sites internet dits « alternatifs » auxquels Boutoleau se réfère avec insistance comme des « sources sérieuses » à l’appui de ses affirmations calomnieuses, ou qui publient ses articles diffamatoires. Notamment :
conspiracywatch.info,
indymedia.org (en France),
ReflexeS [
15],
Article11.info,
CQFD,
luftmenschen,
Rebellyon, pour ne citer que ceux-là [
16].
Les lecteurs, qui ignorent généralement tout de ces manœuvres honteuses de noyautage et de manipulation par des faussaires omniprésents sur la toile, mais aussi au sein des mouvements sociaux, ont aujourd’hui à la lumière de cette affaire la preuve éclatante que certains sites et organes dits d’information, prétendument « indépendants, alternatifs, libertaires », peuvent avoir - sous couvert d’une chasse à des « antisémites » et des « fascistes » imaginaires, fabriqués à dessein – un agenda bien différent de la lutte qu’ils proclament. Un lecteur averti en vaut deux.
Cela dit, malgré les tentatives de mise sous contrôle de l’information, Internet demeure un fantastique outil de communication et d’échange. Pas étonnant que de nombreuses officines et de nombreux États cherchent à s’en emparer. Les lecteurs doivent impérativement apprendre à faire le tri et à se méfier des sites dont les positions apparemment « radicales » ne sont qu’une image affichée pour mieux servir d’appât à des fins de conditionnement politique. Et se rappeler que nombre d’intervenants sur les forums, ne sont pas là en toute innocence : ils ne sont là que pour alimenter de faux débats et discréditer l’information sérieuse.
Une conclusion personnelle douloureuse touchant la diffamation et la manipulation
Mon expérience personnelle m’a amenée à bien comprendre ce que recouvrent certaines accusations gratuites. En l’occurrence l’association à l’« antisémitisme » et au « négationnisme ».
En 2002 j’ai visité
la Palestine. Ce fut une découverte bouleversante mais riche d’enseignements. Ce que j’y ai vu et compris a changé ma vie. J’y suis retournée en 2003 et en 2006. J’ai rapporté en toute sincérité les horreurs commises par les soldats israéliens dont j’avais été témoin et que, à ma surprise les journalistes basés à Jérusalem ou Tel Aviv, et les envoyés spéciaux, minimisent.
Très vite, avec effarement, j’ai vu apparaître, en France, le qualificatif infamant d’ « antisémite » ou de « négationniste » accolé à mon nom, me voyant ainsi associée, par des curieux plumitifs, à la sinistre histoire du nazisme pour avoir simplement témoigné de ce que j’avais vu en Palestine !
J’ai rapidement été amenée à constater qu’il y avait, y compris au sein du mouvement de solidarité pro-palestinien, des personnes qui se servaient de leur position pour humilier et déshumaniser des gens dont l’analyse heurtait leur « sensibilité ». Ou, plus précisément remettait en question leurs partis pris. Leur arrogance, leurs procédés ignobles, m’ont profondément heurtée. Le nom de chacune des personnes qui ont, par leurs mensonges, couvert mon nom de boue - et celui de tant d’autres personnes parfaitement respectables - reste depuis lors gravé dans ma mémoire.
Entre 2003 et 2006, révoltée par ce que je découvrais, voulant comprendre ce phénomène nouveau pour moi, je me suis rendue à Paris où j’ai interrogé nombre de personnes qui se sont trouvées du jour au lendemain accusées d’ « antisémitisme », dont l’humoriste Dieudonné. Cela m’a permis de mesurer l’ampleur de cette imposture.
J’ai pu voir comment, fin 2003, à la suite de son sketch sur la violence des colons juifs en Palestine, une foule de gens bizarres s’est ruée sur lui. J’ai pu voir comment l’accusation infamante lancée par des organisations juives et leurs avocats [
17] en a rapidement fait, l’« antisémite » le plus célèbre et le plus persécuté de France. J’ai pu voir comment celui qui était précédemment qualifié d’« humoriste le plus talentueux et aimé des Français » s’est vu soudainement banni, dans le rôle du paria.
J’ai pu voir comment le très estimé sociologue Edgar Morin s’était vu lui aussi pris dans une tourmente et condamner, en 2005, pour «
diffamation raciale et apologie des actes de terrorisme » pour avoir cosigné un article intitulé « Israël-Palestine : le cancer », publié en juin 2002 dans la tribune libre du quotidien
Le Monde. Il nous avait alors confié : «
Beaucoup de gens me disent “mais toi tu peux écrire ces choses là parce que tu es d’origine juive mais nous on n’oserait pas, on a peur, on se ferait tout de suite traiter d’antisémite.” Alors, cette peur de se faire traiter d’antisémite chaque fois que l’on veut exercer un acte de libre critique, crée un climat empoisonné. » [
18]. Le jugement qui le condamnait fut heureusement cassé ultérieurement, en 2006, par
la Cour de Cassation. Mais tous les diffamés n’ont pas eu un procès qui les a blanchis, ou les moyens d’en engager un.
J’ai pu voir, dans mon propre cas, comment ce mécanisme avait fonctionné [
19] à partir de calomnies lancées contre moi, pour commencer, par Pierre Stambul, alors vice-président de l’Union juive française pour la paix (UJFP) [
20]. J’ai pu voir comment, une fois associée à un nom, et lâchée, l’accusation d’«
antisémitisme » et de «
négationnisme » était montée en épingle, par exemple dans les colonnes du mensuel du judaïsme français
l’Arche [
21] ; ou de
Proche-Orient.Infos, un autre organe de propagande en faveur d’Israël, maintenant disparu, dirigé par une ancienne journaliste du
Nouvel Observateur, Elisabeth Schemla. Et comment, une fois jetés en pâture, les noms des personnes ainsi salies étaient repris en boucle, sans aucune vérification, à longueur d’années, par toute une ribambelle de manipulateurs. Pour être enfin reprises par des journalistes peu scrupuleux du quotidien
Libération.
Toutefois, l’abus du procédé a fini par en émousser l’efficacité [
22]. L’invocation du prétendu «
danger antisémite » ne faisant plus à lui seul recette, la nouvelle tactique en usage, pour transformer un adversaire en épouvantail, est de le qualifier tout à la fois d’«
antisémite », «
fasciste », et d’«
extrême droite ». Il convient donc de ne jamais perdre de vue qu’en politique les calomnies sont des armes. Et que ceux qui s’en servent - comme nous l’avons vu avec Ornella Guyet ou d’autres - ont un agenda caché. Par conséquent, quand il vous arrivera de les entendre dire qu’un tel est «
antisémite », «
fasciste », «
conspirationniste », n’en croyez rien. Demandez-vous ce qu’ils cherchent à masquer sous leurs gros mensonges. Et allez vérifier par vous-mêmes ce que disent vraiment les personnes incriminées.
Silvia Cattori
(*) A ne pas confondre avec le site espagnol Rebelión
[13] Le fait que le Conseil d’administration d’Acrimed ne condamne pas les calomnies proférées par Guyet-Boutoleau contre des personnes respectables, et se solidarise avec elle dans ses démêlés avec l’UPR, revient à cautionner ses agissements. Voir les réactions sur le forum de cet article du GrandSoir. [14] Figure du mouvement anti-impérialiste et professeur de physique théorique à l’Université de Louvain, Jean Bricmont, qui avait été blâmé dans un article (non signé) de REFLEXes pour avoir recommandé la lecture du livre de Paul-Éric Blanrue « Sarkozy, Israël et les juifs », avait répondu à ses détracteurs en défendant vigoureusement la liberté d’expression et en se livrant à une critique décapante du prétendu « combat antifasciste » de ses détracteurs. Voir : « Antifascistes encore un effort, ...si vous voulez l’être vraiment », par Jean Bricmont, 21 0ctobre 2009. [15] Voir par exemple les nombreuses interventions de Boutoleau sur le forum de cet article de CQFD du 11 janvier 2011 intitulé « Les infiltrés ». [16] Si cette pseudo-journaliste signe Marie-Anne Boutoleau dans CQFD, Article11.info, Oumma, Acrimed, Lesmotsontimportants, Indymedia, Rebellyon [à ne pas confondre avec le site espagnol Rebelión], Acrimed etc, elle signe en revanche sous son vrai nom, à savoir Ornella Guyet, dans Le Monde diplomatique (voir : http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2009-03-16-Jersey) ou sur Bastamag (voir : http://www.bastamag.net/spip.php?page=recherche&recherche=ornella+guyet&x=12&y=9). [17] Notamment, l’Union des Patrons et Professionnels Juifs de France (UPJF), le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), l’Union des étudiants juifs de France (UEJF). [20] Pierre Stambul était intervenu auprès de sites pour demander que soit enlevée une interview de Dieudonné que j’avais réalisée. Par la suite, dans l’article « Les “nouveaux” antisémites », publié sur le site de l’UJFP (et aujourd’hui retiré) il m’associait à l’action de « courants intégristes », à « l’extrême droite » à des « négationnistes », de « vrais antisémites ». Voir : « Antisémitisme : réalité et instrumentalisation », par Pierre Stambul, 20 octobre 2006. [21] L’Arche, qui avait écrit, en 2005, que Silvia Cattori « avait un long passé d’outrances antijuives » a dû publier son Droit de réponse. [
22] En janvier 2008, Bernard Ravenel, alors président de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS), et Richard Wagman, président d’honneur de l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP), furent condamnés par la XVIIème chambre du tribunal correctionnel de Paris pour avoir diffamé le journaliste et écrivain Jean-Paul Cruse en le traitant d’ « antisémite notoire » et de « négationniste notoire », sans aucune preuve à l’appui. Voir : « Usage de l’antisémitisme à des fins politiques – L’accusation d’antisémitisme ne fait pas toujours recette », par Silvia Cattori, silviacattori.net, 23 mai 2008.
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